Loïc LOVAL (US Fleury Mérogis)

suzieju a écrit:Une question que je me pose à chaque mercato, et dont j'oublie toujours la réponse :
La date butoir du mercato concerne les joueurs sous contrat ? Un joueur comme Loval, Gauclin ou Brillault, actuellement sans club et sans contrat, peut s'engager à tout moment avec un club ?
Ou les clubs doivent-ils avoir un effectif définitif à cette date, et n'engager qu'un éventuel joker si blessure ?
Donc ces joueurs sont ils encore engageable, ou au chômage jusqu'en Janvier ?

MissChouchen a écrit:Effectivement, le recrutement d'un joueur au chômage ou sans contrat en cours est possible à n'importe quel moment de la saison.

hanyanghaseo a écrit:

suzieju a écrit:Une question que je me pose à chaque mercato, et dont j'oublie toujours la réponse :
La date butoir du mercato concerne les joueurs sous contrat ? Un joueur comme Loval, Gauclin ou Brillault, actuellement sans club et sans contrat, peut s'engager à tout moment avec un club ?
Ou les clubs doivent-ils avoir un effectif définitif à cette date, et n'engager qu'un éventuel joker si blessure ?
Donc ces joueurs sont ils encore engageable, ou au chômage jusqu'en Janvier ?

de mémoire, oui.

Voilà un renfort de premier choix pour le FC Mulhouse! Comme il vient de l'indiquer sur son site officiel, le club de CFA a accueilli Loïc Loval en ce début de semaine. L'ancien attaquant de Vannes, 30 ans, doit passer la visite médicale et signer avec le FCM dans la journée.

L'ancien buteur de Besançon ou encore Sochaux va ainsi retrouver l'Est de la France, alors qu'il avait été testé aux Pays-Bas il y a quelques jours seulement. Auteur de dix réalisations sur le maillot du VOC la saison passée, Loïc Loval pourrait être l'une des attractions du groupe B de CFA.

Romain a écrit:On peut pas faire un échange Loval - Haquin ?

Loïc Loval, qu’est ce qui vous a convaincu de venir poursuivre votre carrière au FCM ?
Cela faisait trois bonnes semaines que le club me suivait. J’ai eu le temps de mûrir ma décision et d’analyser tous les paramètres. J’ai aussi eu le temps d’avoir tout le monde au téléphone (rires). J’ai beaucoup parlé au président ainsi qu’au coach. Le feeling est passé. Et franchement, ils ont été patients ! Ils n’ont jamais essayé de me forcer la main. Pourtant, j’ai fait un peu poireauter tout le monde parce que je voulais vraiment saisir LA bonne proposition.
Débarquant de National, Mulhouse n’était évidemment pas votre idée de départ…
Je ne vais pas cacher que la proposition que j’attendais n’est jamais arrivée. J’aspirais forcément à rester dans le monde pro. Mais on est à la mi-septembre et il fallait à un moment donné que j’arrête d’attendre dans mon coin et que je prenne une décision. Dès lors, parmi toutes celles que j’avais, la piste de Mulhouse était celle qui me convenait le plus.
Pour quelles raisons ?
Parce que le club a des ambitions et veut jouer le haut du tableau. Parce que j’ai passé plusieurs années au FC Sochaux et que le coin ne m’est donc pas inconnu. Et puis parce que je voulais aussi rester en France pour rester près de ma famille.
Parlez-nous de votre carrière, qui n’est pas banale…
C’est vrai que j’ai fait l’essentiel de ma carrière aux Pays-Bas. J’y ai passé près de huit ans. J’ai notamment joué pendant cinq saisons en D1 néerlandaise avec le FC Utrecht. J’ai humé le parfum de la Coupe d’Europe (3 matches d’Europa League en 2009) et j’aurais d’ailleurs pu rester dans ce championnat quelques années de plus.
Alors pourquoi avoir choisi de rejoindre Vannes et la Ligue 2 en 2010 ?
J’avais fait le tour aux Pays-Bas. Et puis je voulais que ma fille soit scolarisée en France. Je souhaitais me rapprocher de ma famille aussi. Je n’ai pas regretté car j’ai passé de bons moments et réalisé de belles choses à Vannes même si, sportivement, la relégation en National en 2011 a été douloureuse. La saison dernière a été difficile aussi car nous n’avons pas réussi à remonter.
Retrouver le CFA cette saison est-il un coup de frein dans votre carrière ?
Non, je ne vois pas ça comme ça. C’est une nouvelle étape, un nouveau défi. J’aspire toujours à jouer le plus haut possible, mais quand je m’engage quelque part, quand je donne ma parole, je me livre à fond, peu importe le niveau. Et puis je sais que si je réussis une grosse saison avec le FCM, ce sera tout aussi bénéfique pour moi que pour le club.
Avec vos 10 buts inscrits en 23 matches en National lors du dernier exercice, vous n’ignorez pas que vous serez très attendu…
Je sais et je ferai tout pour permettre à l’équipe d’être encore plus performante. Je ne m’étais jamais retrouvé sans club depuis le début de ma carrière. L’attente a été longue. Aujourd’hui, je n’ai qu’une hâte : rencontrer mes nouveaux coéquipiers, retrouver très vite les terrains et la vie de vestiaire. Ça me manque.
L’Alsace du mardi 11/09/2012 par Propos recueillis par Pierre Chatelus.

le flanchec a écrit:Ce que je ne comprends pas ,c'est que pourquoi le VOC voyant qu'il ne trouvait rien ne l'a pas relancer, les ambitions financières de mulhouse ne devant pas êtres tellement supérieures à celles du VOC...

le flanchec a écrit:Ce que je ne comprends pas ,c'est que pourquoi le VOC voyant qu'il ne trouvait rien ne l'a pas relancer, les ambitions financières de mulhouse ne devant pas êtres tellement supérieures à celles du VOC...

Gwenn ha du a écrit:

le flanchec a écrit:Ce que je ne comprends pas ,c'est que pourquoi le VOC voyant qu'il ne trouvait rien ne l'a pas relancer, les ambitions financières de mulhouse ne devant pas êtres tellement supérieures à celles du VOC...

Ils n'en avaient pas envie surement...